L’URIF FO constate avec inquiétude, qu’au moment où l’état d’urgence instaure le couvre-feu à partir de 21H, les Franciliens continuent à s’entasser dans les transports en commun.
Fini les gestes barrières, fini l’occupation d’un siège sur deux. Pourquoi tous les Franciliens se posent-ils la question : « À entendre les politiques, les transports seraient moins dangereux que les terrasses de café» ?
Parce que c’est faux ! Même si les Franciliens portent des masques, ils s’accrochent aux barres, s’assoient sur des sièges, ouvrent des portes – ils s’entassent dans tous les moyens de transport.
S’interrogeant, comme tout être intelligent le fait, ils se posent la question de savoir pourquoi il n’y a pas plus de rames de métro, de trains, de bus.
Tout simplement parce qu’il n’y en a pas – tout fonctionne à flux tendu – insuffisamment de matériel – insuffisamment d’entretien – insuffisamment de personnel.
Pour les transports, il ne doit pas y avoir de prix, pas plus qu’à l’hôpital. Non seulement les entreprises doivent investir mais la région Ile-de-France également. Ne pas le faire c’est mettre la vie des Franciliens en danger.
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